L'arbre en moi à jamais accompli encore inadvenu toujours à peindre s'imposant se cachant présent-absent être et non-être fuyant en balance au rythme des saisons déraison de l'homme
on n en finit jamais de ramper ses racines de froufrouter ses branches de peindre ses feuilles d'écrire
la vie dedans son cours qui fait voir dans l'instant, et quand son bel vivant c'est de la belle matière, des sèves vitales d'aises, qui donnent de la vie, celle qui garde en vie
Tu en connais un rayon dans cette branche
RépondreSupprimer> L'arbre, Gérard, a plus d'une branche...
RépondreSupprimerArbre je suis
RépondreSupprimeret ne serait sans racines
sève de l'homme
c'est fort joli d'écrit encore,
RépondreSupprimeron n en finit jamais
de ramper ses racines
de froufrouter ses branches
de peindre ses feuilles d'écrire
la vie dedans son cours qui fait voir dans l'instant,
et quand son bel vivant c'est de la belle matière, des sèves vitales d'aises,
qui donnent de la vie, celle qui garde en vie
on dit merci la vie de son humble de soi!
doux jour, Pierre.
...merci Pierre je le note sur ma feuille
RépondreSupprimer> Gérard, et plus d'une feuille en sa ramure. L'arbre éphéméride...
RépondreSupprimer" L'arbre en moi à jamais inaccompli"
RépondreSupprimerSe dégager se libérer se promener dans les poèmes
qui changent les choses en contemplation
S'imaginer disparaissant s'oubliant dans la fleur
de l'amandier le papillon qui rêve de Tchouang-Tseu
la montagne qui a la blancheur du cygne
la lune qui vous souffle à l'oreille
que vous ne savez rien que vous n'êtes rien
un fragment subtil de lumière
qui rayonne depuis une région et un régime de l'esprit
à bonne distance des choses...
Entre le ciel et la terre
RépondreSupprimer> JJDorio, l'inaccompli en miroir avec l'inadvenu...
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