Encres vagabondes
samedi 18 août 2012
( 34 )
1er juin
Et voici qu'une voix s'insinue et se glisse en lui, susurrant l'idée perverse, l'idée inverse. Vrille, éclair qui porte en lui la flèche, la lance, le feu, qui en un seul instant brûle et déchire.
3 commentaires:
Rêveuse bleue
20 août 2012 à 13:09
la seule voix qu'il est judicieux d'écouter est celle de son coeur...
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mémoire du silence
23 août 2012 à 10:34
Douleur de juin.
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mémoire du silence
23 août 2012 à 10:34
Douleur de juin.
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la seule voix qu'il est judicieux d'écouter est celle de son coeur...
RépondreSupprimerDouleur de juin.
RépondreSupprimerDouleur de juin.
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