8 septembre
Et tu arriveras comme toujours de ton pas mesuré et lent, ton pas aérien, sûre de toi, presque innocente, joueuse certainement, un sourire aux lèvres, ranimant le feu, poursuivant la partie comme s'il n'y avait cet abîme en moi.
Sait-on où l'on va, ce que l'on devient ?
J'aime beaucoup cheminer avec cette écriture intimiste...
RépondreSupprimerc'est beau et bon cette encre vagabonde.