vendredi 17 janvier 2014

soir 3



L'ombre tentaculaire de l'arbre

vers la maison s'étend

une pieuvre l'absorbant.

7 commentaires:

  1. "ô elle dont je dis le nom sacré dans mes marches solitaires et mes rondes autour de la maison où elle dort, et je veille sur son sommeil, et elle ne le sait pas, et je dis son nom aux arbres confidents, et je leur dis, fou des longs cils courbés, que j'aime et j'aime celle que j'aime, et qui m'aimera, car je l'aime comme nul autre ne saura."

    A. Cohen / Belle du Seigneur

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  2. Quel bonheur de vous lire Pierre dans ce court poème si puissant, si beau.

    Au crépuscule des jours
    Lorsque le soleil descend
    L'ombre et le silence s'épousent
    Pour peu à peu atteindre les ténèbres
    Et dans un rayon de lune laisser fleurir les rêves

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  3. je suis venue et revenue, vous lire chacun...

    doux soir.

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  4. L'ombre bienfaisante selon le ciel de juin
    Grave est son silence au soir du jour qui s'en va
    Pensée
    Arlette

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  5. Je découvre les mots simples et la force de vos écrits

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  6. Sombres en ombres
    Demain s'étend...
    Les bras sur le ciel
    Déposent les doigts scellés
    Doucement, noir et clair fusionnent
    Entre les lettres muettes
    Au pays des entre-mondes...

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  7. Tentacules qui s'insinuent
    Laissant le doute et le désarroi
    Sur une œuvre inachevée
    Et des mots orphelins.....

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