"ô elle dont je dis le nom sacré dans mes marches solitaires et mes rondes autour de la maison où elle dort, et je veille sur son sommeil, et elle ne le sait pas, et je dis son nom aux arbres confidents, et je leur dis, fou des longs cils courbés, que j'aime et j'aime celle que j'aime, et qui m'aimera, car je l'aime comme nul autre ne saura."
Quel bonheur de vous lire Pierre dans ce court poème si puissant, si beau.
Au crépuscule des jours Lorsque le soleil descend L'ombre et le silence s'épousent Pour peu à peu atteindre les ténèbres Et dans un rayon de lune laisser fleurir les rêves
Sombres en ombres Demain s'étend... Les bras sur le ciel Déposent les doigts scellés Doucement, noir et clair fusionnent Entre les lettres muettes Au pays des entre-mondes...
"ô elle dont je dis le nom sacré dans mes marches solitaires et mes rondes autour de la maison où elle dort, et je veille sur son sommeil, et elle ne le sait pas, et je dis son nom aux arbres confidents, et je leur dis, fou des longs cils courbés, que j'aime et j'aime celle que j'aime, et qui m'aimera, car je l'aime comme nul autre ne saura."
RépondreSupprimerA. Cohen / Belle du Seigneur
Quel bonheur de vous lire Pierre dans ce court poème si puissant, si beau.
RépondreSupprimerAu crépuscule des jours
Lorsque le soleil descend
L'ombre et le silence s'épousent
Pour peu à peu atteindre les ténèbres
Et dans un rayon de lune laisser fleurir les rêves
je suis venue et revenue, vous lire chacun...
RépondreSupprimerdoux soir.
L'ombre bienfaisante selon le ciel de juin
RépondreSupprimerGrave est son silence au soir du jour qui s'en va
Pensée
Arlette
Je découvre les mots simples et la force de vos écrits
RépondreSupprimerSombres en ombres
RépondreSupprimerDemain s'étend...
Les bras sur le ciel
Déposent les doigts scellés
Doucement, noir et clair fusionnent
Entre les lettres muettes
Au pays des entre-mondes...
Tentacules qui s'insinuent
RépondreSupprimerLaissant le doute et le désarroi
Sur une œuvre inachevée
Et des mots orphelins.....