11 mai
Un reproche - serait-il calculé, voulu de moi comme explication ? - tu manques de confiance. Tu ne seras pas ce que je veux t'offrir et partager; tu le refuses. Tu y es sourd. Un secours amical, n'en n'aurais-tu le besoin ? Sais-tu ce que cela peut être ? Ton rêve égoïste te suffit-il ? Le reste étant négligeable, quantité dérisoire, en regard.
La fiction donne des ailes. Elle nous porte, nous entraîne à une vitesse délirante dans un paysage sans géographie connue, à une vitesse intemporelle qui abolit les obstacles, les raisons, les questions. Course de haies sans faute.
Tes mots sont très beaux...plein de sensibilité dissimulée
RépondreSupprimerLe rêve est un état, la vie une cause...en tout état de cause...
Douce journée Jean
Bisous envolés
Gisèle
Je n'étais plus venue ici depuis que je mettais installée près de la mare...ce matin un régale de lecture ... merci
RépondreSupprimer