23 juin
Il s'imagine au plus mal. À l'hôpital, par exemple. Regrette de ne pouvoir l'espérer à son chevet, une dernière fois serrer ses mains, se réjouir, la contempler... Serait-elle donc son dernier recours auquel pour survivre il doive absolument se raccrocher. Se sauver. S'en tirer. De quelle espérance se trouve-t-elle porteuse ? Il ne sait. Il ressent cela au plus profond de son être. Elle irradie. Il se place sous son charme. Aspire son souffle. Comme une nourriture. Possession. Dépossession. Mélange.
AMOUR.
RépondreSupprimerSur l'écran noir de ses nuits blanches...
RépondreSupprimerHum...comme je comprends ces silences criant, que dis-je hurlant...Quand aucun sons ne sort et que le coeur saigne...ces mirages de l'âme partit voyager sur le chemin des illusions...
RépondreSupprimerDouce fin de journée Pierre
Je te mets mon nouveau lien
http://auloindubleu1.blogspot.fr/
bisous