2 septembre
Je vais et vogue n'attendant que le cri de la vigie qui m'annoncera la rencontre tant espérée. Mer monotone et de patience. Vigie moi-même guettant le signe qui viendras : surprise sans surprise. Elle, elle-même, en pointe de terre. Que la route est longue jusqu'à Elle mais ne vit-Elle pas en moi, si proche et si lointaine, mon Amérique à moi ?
Et Diou sè que cè douré dé vivré ein amériqué... poutain dé madré...
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