De leur beauté je retiens leur éclat, leur couleur, leur rudesse, je n'en veux pas au temps, je n'en veux pas au vent même si ses caresses manque de douceur et les rendent quelque peu fripés dans leur vieil âge, il en faut plus aux dahlias pour s'avouer vaincus, oh douces et belles fleurs rustres et généreuses dans les vases de nos mères et nos grands-mères, en touffes abondantes dans les jardins de nos pères et nos grands-pères, boules d'amour de pétales en je t'aime, un peu beaucoup et pour toujours qu'ils paraissent en nos mémoires des fleurs immortelles.
Merci Ella c'est gentil peut-être aimez-vous aussi les dahlias, ces fleurs de fin d'été dans les jardins de l'automne et dont l'odeur si particulière s'associe aux souvenirs d'enfance.
ici certains ont la colonne brisée
RépondreSupprimerLe vent ne se satisfaisant pas de la distance qu'exige tout désir.
RépondreSupprimerMais ils se relèveront, ce n'est qu'une question de temps... :-)
RépondreSupprimerDe leur beauté je retiens leur éclat, leur couleur, leur rudesse, je n'en veux pas au temps, je n'en veux pas au vent même si ses caresses manque de douceur et les rendent quelque peu fripés dans leur vieil âge, il en faut plus aux dahlias pour s'avouer vaincus, oh douces et belles fleurs rustres et généreuses dans les vases de nos mères et nos grands-mères, en touffes abondantes dans les jardins de nos pères et nos grands-pères, boules d'amour de pétales en je t'aime, un peu beaucoup et pour toujours qu'ils paraissent en nos mémoires des fleurs immortelles.
RépondreSupprimerC'est très beau Monique
SupprimerMerci Ella c'est gentil peut-être aimez-vous aussi les dahlias, ces fleurs de fin d'été dans les jardins de l'automne et dont l'odeur si particulière s'associe aux souvenirs d'enfance.
SupprimerLe temps qui boit
RépondreSupprimerLaisse des traces
Les chagrins vifs
Ne s'oublient pas