mercredi 1 mai 2013

( 170 )

16 septembre


     J'ai eu la certitude de passer tout près, de frôler, de côtoyer, oui, de marcher du même pas un instant, en faisant route commune avec Toi, ce que faute d'autre mot moins galvaudé il me faut bien appeler un bonheur. Un moment, rien qu'un seul, où j'ai cru vivre en paix avec tous ceux qui habitent ce corps qui est le mien, enfin pacifiés et accordés, se taisant enfin un moment - ce moment de bonheur - où j'ai cru partager l'amitié avec Toi... Je sais qu'il existe, le bonheur, je l'ai rencontré, même si la porte qui lui donne accès est étroite et s'est vite refermée, cachée au fond de mes rêves.





   

1 commentaire:

  1. Rêves et réalités se confondent, on cherche dans l'un ce qui se trouve dans l'autre et inversement on parvient à mettre un mot qui lui, existe bien ancré au fond du coeur : le bonheur. Une fois trouvé, il s'y loge et n'en part plus jamais.Il suffit tout simplement de sonder de temps en temps pour sentir comme il est précieux, vital et nécessaire.

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